English version below
La pauvreté est omniprésente en Birmanie. Elle atteignait 36 % de la population en 2013 (Banque Mondiale). Depuis le coup d’état de février 2021, les organisations internationales estiment que la moitié de la population birmane vivra sous le seuil de pauvreté du fait de l’inflation sur les produits de première nécessité. Le coup d’état et les nouvelles sanctions économiques n’ont fait qu’aggraver la situation.
Entre 2003 et 2020, l’association Marchés d’Asie a mené des actions contre la pauvreté. Nos actions visaient à garantir un revenu aux familles, s’appuyant sur le « don/contre-don » impliquant celui qui reçoit oblige à un contre-don, envers un plus pauvre que lui. A chaque famille son histoire, ses difficultés. Il n’y a pas une solution pour tous, mais une pour chacun.
Pour nos actions,
– nous ne donnons pas d’argent,
– les moyens à mettre en oeuvre n’excèdent pas l’achat d’un outil de travail,
– elles impliquent la personne qui reçoit. Le montant utilisé doit être restitué, sous forme d’argent ou de service rendu, à l’association ou à d’autres personnes précaires.
Poverty is pervasive in Burma. It reached 36% of the population in 2013 (World Bank). Since then, the figures have been rising due to inflation.
Between 2003 and 2020, Marchés d’Asie started actions toward poor people. Is poor for the association, anyone who cannot feed, house, care for, and educate themselves according to their own choices.
The objectif of the actions is to guarantee an income per family. They are based on the « gift/counter-gift » which involves the one who receives and pushes him to a counter-gift to someone poorer than him. To each family its history, difficulties. There is not a solution for all, but one for each.
For our actions
– we do not give money,- the means do not exceed the purchase of a work tool,
– he person who receives must understand the functioning of the association,
– the amount used must be returned.