English version below
Il est 7 heures à peine. Assise au New Delhi, s’arrêtent devant moi 3 camions de l’armée. Des policiers, déjà sur place en grand nombre, montent à pas rapide dans les étages d’une vieille maison coloniale.
La zone est bouclée, personne ne passe plus sur la section de trottoir. 5 chariots attendent en bas, chargés à la hâte. En moins d’une heure, tout le monde est parti… et arrivent un bataillon d’hommes qui, leur longy remonté et passé dans la ceinture, grimpent sur le toit et commencent à mains nues à démonter la toiture.
Depuis mon premier voyage, le centre de Rangoon a bien changé, et les immeubles carrelés peu à peu les vieilles maisons coloniales aux façades décorées… L’augmentation du prix du foncier à Rangoon entraine expropriations et départ des plus précaires dans les quartiers périphériques.
It is just 7 o’clock. Sitting in the New Delhi restaurant, stop in front of me 3 army trucks. Police officers, already on site in large numbers, climb quickly in the floors of an old colonial house.The area is closed, no one passes anymore on the sidewalk section. 5 wagons are waiting downstairs, loaded in a hurry. In less than an hour, everyone left… and arrived a battalion of men who climb on the roof and begin to dismantle it with their bare hands.
Since my first trip in 97, the center of Rangoon has changed a lot, and the tiled buildings gradually replace the old colonial houses with decorated facades… The increase in the price of land in Rangoon leads to expropriations and the departure of the most precarious in the peripheral neighborhoods.